Programme from 27 May to 2 June 1932



Booklet

Bron: FelixArchief nr. 1968#761

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AU BON COIN

A. VAN OSTA & C

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AU BON COIN

Pro­gramme 38/39 Speel­wi­jzer

Ven­dredi OTf Samedi o O Di­manche Lundi mai Jeudi t\ iuin

Mnnndaa Mei Don­der­daa " Juni

Vri­jdag

Za­ter­dag

Zondag

Maandag

Mei Don­derdag

1032

1. Eclair-Jour­nal

Ac­tu­alités sonores

1. Eclair-Nieuws­berichten

Ak­tu­aliteiten op den klank­film

2. LE VRAI Vis­age de l'Afrique: 2. AFRIKA's waar gelaat:

Chez les Bu­veurs du Sang Bij de Bloed­drinkers

Film f, ançais sonore et par­lant Fran­sche klank- en spreek­film

re­la­tant l'éton­nante expédi­tion van de ex­pe­di­tie

GOUR­GAUD-RYCH­NER (1930-1931)

à tra­vers l’Afrique mystérieuse et sauvage doorheen het geheimzin­nig en woest Afrika

Adap­ta­tion et mon­tage: Aan­pass­ing en mon­teer­ing :

Jean CHAUX

Pho­togra­phies: Op­na­men :

J. R. BARTH.

Par­ti­tion mu­si­cale inédite: Oor­spronke­lijke muziek par­ti­tuur :

FRANK

de l’Opéra de Paris. van de Opera van Par­ijs.

3. Princesse, à vos or­dres 3. Haar Hoogheid beveelt

Film-opérette Fil­mop­erette

Scénario: Sce­nario: Cou­plets: Koe­plet­ten :

Paul FRANCK & Bil­lie WILDER Jean BOYER

Réal­i­sa­tion: Ver­wezen­lijk­ing: Prises de vues: Zich­top­na­men :

Hanns SCHWARTZ Günther RIT­TAU

avec la col­lab­o­ra­tion de met de mec­jew­eik­ing van Prises de sons: Klankop­na­men:

Max de VAUCOR­BEIL FRITZSCHING

Musique: Muziek: Décors: Scher­men :

Werner R. HEY­MANN Erich KET­TEL­HUT

DRAMA­TIS PER­SONÆ

Marie-Chris­tine....​Lilian HAR­VEY

Cap­i­taine (Kapitein) de Berck . . , Henri Garat

Heynitz....​Marcel Vib­ert

Le Prince de (Prins van) Leucht­en­stein . Ray­mond Guérin

Pipac....​Bill Bock­ett

Jean .... Jean Mer­can­ton


Le vrai vis­age de l’Afrique: CHEZ les BU­VEURS de SANG

Nous vous présen­tons avec con­fi­ance le «Vrai vis­age de l'Afrique » dans toute sa sincérité.

Au cours d’un voy­age de 7 mois dans la brousse, la lo­co­mo­tion, la na­ture, le sport, la vie indigène, la faune, la sci­ence, l’his­toire, nous sont ap­parus sous des an­gles rapi­des et divers. Nous avons fixé pour nous-mêmes des vues d’un intérêt qui ne vous échap­pera pas.

Main­tenant, j’ai décidé d’ou­vrir pour vous notre livre de chevet, notre car­net de route. Je me suis en effet aperçu que cela pou­vait être de quelque intérêt, car en ren­trant de voy­age j’ai rarement ou im­par­faite­ment retrouvé sur l’écran l’Afrique telle qu elle est. Otn m'a posé beau­coup de ques­tions, sur les fauves, sur les gi­rafes, les éléphants. On m’a de­mandé si vrai­ment les Pygmées ex­is­taient. Beau­coup de mes amis croient que l’on tue mille pièces en un jour ou bien, extrême er­reur, qu’on risque sa vie à tout mo­ment. Au mi­lieu de ces exagéra­tions, et des fan­taisies d Hol­ly­wood, qui peu­vent être artis­tiques et poignantes, mais ne sont pas réelles, il est dif­fi­cile pour le pub­lic de se ren­dre compte du Vrai vis­age de l’Afrique.

D'ans ce film, vous serez face à face avec la réalité. Nous n’avons pas cherché à vous épater. Nous avons vécu avec assez de con­fort quand nous avons pu. Le sport com­porte ses risques, nous les avons en­cou­rus. A les drama­tiser, à vous les évo­quer tous, nous dimin­ue­ri­ons nos titres. Nous n’avons spéculé sur rien et nous

LES BIÈRES POUR TOUS LES GOUTS

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vous ap­porterons de notre vie au jour le jour des tableaux ex­acts. Si vous allez en Afrique, à part des in­ci­dents sus­cités ou des ac­ci­dents imprévus, c’est ainsi que vous vivrez.

La chasse à l’éléphant com­porte de grands ef­forts, d’im­mense fa­tigue et, comme toutes les pour­suites, maints déboires. Nous avons marché 18 jours avant d’at­tein­dre un éléphant, dont les défenses pe­saient le poids régle­men­taire de 28 kilos d’ivoire. (1) Nous avons abattu un vieux mâle qui por­tait des défenses pe­sant 80 kilos.

Nous espérons vous intéresser à cette chasse, de même qu’à celle du lion que nous fûmes forcés de tuer, car il mon­trait vrai­ment de trop mau­vaises dis­po­si­tions.

La hyène étant con­sidérée comme bête nuis­i­ble, nous en avons profité pour nous amuser à filmer sa chasse en auto.

Ja­mais on ne tire de la voiture aucun gibier noble; les règle­ments sont stricts, s’il fal­lait un rap­pel de con­science. On chasse à pied, de­vant soi et le jour. Vous ne ver­rez pas d’an­i­maux blessés, nous les achevions aus­sitôt.

Le rhinocéros, dont nous avions be­soin pour notre Musée d’His­toire Na­turelle de l’Ile d’Aix, a été tué raide d'une seule balle. Nous ne tirons pas les gi­rafes in­of­fen­sives et décora­tives et seule­ment le strict néces­saire de zèbres pour appâter les lions. Les an­tilopes n’ont d’intérêt que vi­vantes, à moins de ren­con­trer des su­jets à tête ex­cep­tion­nelle, à moins aussi, il faut le dire, d’avoir faim, nous ou nos boys.

Nous comp­tons sur votre goût averti pour ac­cueil­lir ce film avec le même es­prit que celui dans lequel il fut conçu et est au­jourd’hui présenté. Le re­spect de l'indigène, du gibier et de vous-même, car enfin on ne peut pas tou­jours vous racon­ter des his­toires, et vous êtes assez grands pour savoir enfin la vérité.

Baron GOUR­GAUD.

( I ) Oln ne doit pas tirer des éléphants dant les défenses pèsent moins de 28 kgr.

Ce que vous ver­rez dans le film:

LA CHASSE à l’éléphant, au lion, au rhinocéros, à la hyène.

LES DANSES IN­TER­DITES: les fameuses danses de la Tribu des Meru, in­ter­dites par le gou­verne­ment bri­tan­nique.

Chez les Zoulous, le film nous mon­tre les danses ex­ta­tiques.

AU ZC'ULOUL A NDl: pèleri­nage au mon­u­ment commémoratif élevé au Zoulou-land par la reine Vic­to­ria à la mémoire du Prince impérial de France.

AU PAYS DU DIA­MANT: Le Cap, où se trou­vent les carrières de dia­mant les plue riches du monde.

A L’ILE DE SAINTE-HE­LENE.

CHES LES' BU­VEURS DE SANG.

Ayant pu séjourner longue­ment chez les Masai, le baron Gour­gaud nous fait as­sis­ter à leur a beu­verie de sang » chaud. I

LA F EM ME STEATCPYGE: j

Une des plus vieilles races du monde, celle des Hot­ten­tots, s’éteint. Une des car­actéris­tiques de cette race est la stéa-topy­gie ou for­ma­tion grais­seuse de la par­tie postérieure. Les types stéatopy-ges, que 1 on ren­con­tre dans la colonie du Cap, sont très rares.

LES: CHUTES DU Z A MB ES E, sont les plus grandes chutes d’eau du monde.


Afrika’s waar gelaat: BIJ DE BLOED­DRINKERS

ij bieden u met vertrouwen « Afrika’s waar gelaat » aan.

Ti­j­dens onzen zeven maan­den lan­gen tocht in de wilder­nis zijn de ver­keersmid­de­len, de natuur, de sport, het leven der in­lan­ders, de dieren­wereld, de weten­schap, de geschiede­nis voorgekomen onder de meest-snelle en on­verwachte gezicht­shoeken. Wij hebben voor on­szelf hi­er­van beelden gevat waar­van de be­lan­grijkheid u niet zal ont­gaan.

Nu heb ik besloten voor u ons dag­boek open te slaan. Ik ben in­der­daad de mee-ning toegedaan dat dit voor u van eenig be­lang kan zijn, want terug­keerend van de reis heb ik slechts zelden of zeer on­vol­maakt op het witte doek kun­nen weerzien het Afrika zooals het in werke­lijkheid

is. Men heeft mij tal van vra­gen gesteld, nopens de wilde dieren, de gi­raf­fen, de olifan­ten. Men heeft mij gevraagd of de Pyg­meeën werke­lijk bestaan. Veel mi­jner vrien­den dachten dat men in één dag wel duizend stuks wild kon schi­eten en dat men zijn leven ieder oogen­blik moet wagen, wat een volkomen dwal­ing is. Te mid­den van al de over­dri­jvin­gen en der fan­tazieën uit Hol­ly­wood, die gewis kun­stvol en span­nend kun­nen zijn, maar geen Werk.​elijk.​heid zijn, is het voor het pub­liek nog moeil­ijk het waar gelaat van Afrika te ont­dekken.

In deze rol­prent zal u slechts werke­lijkheid getoond wor­den. Wij hebben er niet naar ge­tra­cht u te verbluffen. Wij hebben ons bestaan ginds om­ringd met zooveel

Déli­cieuse­ment pétillante, d’une saveur franche et fraîche, le Schweppe» est une eau d’une pureté sans pareille.

Légère­ment minéralisée, elle coa-tient juste les sels néces­saires à débar­rasser l’or­gan­isme des im­puretés qui l’en­vahissent.

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con­fort mo­gelijk, waar wij dit ver­mochten te doen. De sport brengt gevaren mede. Wij hebben ze getrot­seerd. Door ze aan te dikken, of ze u allen vóór den geest te roepen, zouden wij onze be­doelin­gen te buiten gaan. Wij hebben op niets gespeculeerd en willen u trouwe en juiste beelden ophangen van het leven het­welk wij dag aan dag hebben doorge­maakt.

Wan­neer ge naar Afrika tiegt, kunt ge er leven zooals wij gedaan hebben, natu­urlijk afreke­nend dat steeds on­ver­moede in­ci­den­ten of on­verwachte voor­vallen zich kun­nen vo­or­doen.

Ce olifan­ten­jacht eis­cht een zware in­span­ning en heeft voor gevolg: een ontzettende ver­moei­d­heid en, zooals alle achter­vol­gin­gen, veel tegen­vallers.

Wij hebben 18 dagen lang het woud-moeten doortrekken, vooraleer een olifant te bereiken, waar­van de slag­tanden het gewicht van 28 kilo ivoor, door de re­gle­menten bepaald, bereikt had­den.Wij hebben een oude olifant neergeveld met tanden van circa 80 kilo. ( I )

Wij hopen u te boeien met deze jacht, alsmede met deze op een leeuw, dien wij ver­plicht waren neer te schi­eten wijl hij al te slechte neigin­gen ver­toonde en on­han­del­baar bleek.

De hyena wordt aangezien als een schadelijk dier. Wij hebben deze bi­zon­der­heid te baat genomen om een jacht op dit dier te ver­fil­men van uit onze auto. Nooit wordt op edel wild geschoten van uit het ri­j­tuig. Wan­neer het geweten u dit niet zou ver­bieden, zouden toch de zeer strikte re­gle­menten u in toom houden. Men gaat op jacht, te voet, vóór zich uit en al­tijd in den dag. U zult geen gek­wet­ste dieren zien; zij wer­den on­mid­del­lijk afge­maakt.

De neushoorn, dien wij be­hoef­den voor ons Natuur- en Weten­schap­pelijk Muzeum van het Aix-ei­land, viel mors­dood

nedèr, door één enke­len goedgemik­ten, kogel getrof­fen. !

Geen enkele gi­raffe, zoo on­schadelijk j als deko­ratief, viel ten slachtof­fer en al- j leen het strikt-noodza­ke­lijk aan­tal zebra’s j wer­den gedood, om tot voed­sel voor de leeuwen te di­enen.

An­tilopen hebben slechts in­ter­esse als zij lev­end zijn, ten­zij een soort te ont­moeten met uit­zon­der­lijken kop en ook ten­zij men honger heeft, wij of onze boy’s.

Wij reke­nen op uw uit­gelezen smaak om dezen film te aan­schouwen met den-zelf­den geest waarmede hij werd opgevat en aan u ver­toond, de eerbied voor den in­lan­der, het dier en voor u zelf.​Want ten slotte kan men u toch al­tijd geen ver­telsels opdiss­chen en u zijt groot ge­noeg om ein­delijk de waarheid te verne­men.

Baron GOUR­GAUD.

( I ) Nooit olifan­ten neervellen waar­van de slag­tanden geen 28 kg. wegen.

Wat men in dezen film ziet:

DE JACHT op olifant, leeuw, neushoorn, hyena.

DE, VER­BO­DEN DANSEN van den Me-ru-stam.

DE EX­TATIS­CHE DANSEN der Zoeloes.

DE, « BLOEM­FESTI­J­NEN » van den Ma-saï-stam.

BIJ DE HOT­TEN­TOT­TEN, een der oud­ste ges­lachten der aarde, dat aan het uit­ster­ven is.

DE WA­TER­VALLEN VAN DE ZAM­BEZE, de groot­ste der wereld en die zelfs de­gene der Ni­a­gara overtr­e­f­fen.

IN ZOELOE­LAND.

IN HET LAND DER DIA­MAN­TEN.

De ex­pe­di­tie voert ons door de Kaap­kolonie, waar de rijk­ste dia­mant­mi­j­nen der wereld gevon­den zijn.

HET EI­LAND SCHE­LENA. i


st-

Princesse, à vos or­dres!

Au bal musette d’une haute pe­tite cap­i­tale européenne, la princesse Marie-Chris­tine, sous les traits d une jeune manu­cure — Mizzi — fait la con­nais­sance d'un beau garçon épicier. Cari. Bientôt tous deux échangent de ten­dres pro­pos. Miais au hasard d’une valse, qui les sépare mo­men­tanément, Mizzi s en­fuit.

Le lende­main, le min­istre d Etat Heynitz est mis au courant de l’es­capade princière par le détec­tive de la cour Pi-pac. Il re­proche amère­ment à la princesse son in­c­c­n­duite. — Mais qu’aperçoit-elle, soudain, dans la cour, à quelques mètres de la fenêtre? Un lieu­tenant qui subit la verte répri­mande de son cap­i­taine. Et ce lieu­tenant n est autre que... Cari, le faux garçon épicier de la veille, à qui sa sor­tie noc­turne a valu d’ar­river en re­tard à 1 ex­er­cice.

Mizzi com­prend et sourit: « Je veux que ce lieu­tenant soit désor­mais à l’abri des répri­man­des: je le nomme cap­i­taine». Le min­istre ne peut qu’obéir aux or­dres de son Altesse, et le plus stupéfait est bien le lieu­tenant Cari de Berck, qui ne s’at­tendait pas un avance­ment aussi rapide. Deux jours plus tard, Pipac se présente tout pe­naud de­vant Heynitz: il a tenté en vain de pho­togra­phier les deux amoureux, Cari et Ml­izzi, pen­dant leurs prom­e­nades, mais n’a réussi qu’à se cou­vrir de ridicule.

Toute­fois, Heynitz n’at­tache guère d intérêt à cet échec, car il a trouvé une so­lu­tion rad­i­cale: puisque la princesse sem­ble s’intéresser à ce cap­i­taine de Berck, une tac­tique ex­cel­lente sera d’élim­iner l’épicier au profit du cap­i­taine. Le min­istre ménage donc une en­tre­vue entre la princesse et Cari. Comme le cap­i­taine se fait tirer l’or­eille, le min­istre le décide en le

nom­mant com­man­dant, puis lieu­tenant-colonel. Mais lorsque Cari an­nonce à Mizzi qu’il doit se ren­dre au palais pour y être présenté à une princesse, Mizzi se fâche toute rouge, ac­cuse le jeune homme de vouloir la délaisser, et s’en­fuit, très mécon­tente.

Une heure plus tard au palais, le colonel de Berck « stupéfait » se trouve en présence de celle qu’il ap­pelait Mizzi, et il com­prend qu’il a été dupé.

Sur ces en­tre­faites, Heynitz ap­prend de la bouche de Pipac que le colonel de Berck et 1 épicier Cari ne font qu un seul et même per­son­nage qu il veut ren­dre odieux aux yeux de la princesse. Heynitz lui donne des in­struc­tions en conséquence, et le soir même, au bal de la cour, où le Prince de Leucht­en­stein est présent. Cari n a pas à se forcer pour être désagréable à Son Altesse Màrie-Chris­tine: il con­state en effet que la princesse (par amour ou par dépit?) sem­ble très at­ten­tive à la con­ver­sa­tion du jeune prince. Pour­tant celui-ci n’a qu’une seule pas­sion: l’archéolo­gie.

Au bal, il s’ex­cuse de ne pou­voir danser avec la princesse, et la prie lui-même de vouloir bien choisir un autre cav­a­lier de sang royal. Son Altesse hésite, puis, résol­u­ment, au grand scan­dale de Heynitz et de toute la cour, elle fait signe à Cari, et la valse les entraîne tous deux dans la gris­erie de son tour­bil­lon. Il ne faut rien moins que l arrivée in­opinée du Roi lui-même pour leur faire repren­dre con­science de la réalité.

Mais la jolie princesse, à laque­lle les us­ages de la cour et le pro­to­cole com­men­cent à peser quelque peu, s’es­quive, légère comme un oiseau, bientôt suivie de son bel of­ficier, que ne pourra retenir sur la route du bon­heur, ni les protes­ta­tions de Heynitz, ni le blâme de la cour toute entière.

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Haar Hoogheid beveelt!

Onder de gedaante van een een­voudig volksmeisje, Mizzi, leert prinses Marie-Christina, op een dans­feest den fikschen Carl ken­nen, een winkeljon­gen, naar hij zegt. Wel­dra wor­den zoete wo­or­den gewis­seld. Doch op zeker oogen­blik weet Mizzi te ontsnap­pen en laat een briefje achter voor den on­thut­sten Carl: « Kom mij mor­gen aan mijn werk afhalen. Mizzi van ((Fi­garo».

In­tuss­chen werd de » min­is­ter van State » Heynitz, op de hoogte gesteld van het « wange­drag » van Haar Hoogheid, door den hofde­tec­tief Pipac. Zeer plechtig ver­wijt hij « Haar Hoogheid », haar dolle frat­sen, des te meer, daar Zijn Ma­jesteit ze den prins van Leuchen­stein tot gemaal wil... schenken. Maria-Christina haalt de schoud­ers op en kijkt on­ver­schillig doei het ven­ster, j Doch zie! D'aar op den koer kri­jgt een lui­tenant een ste­vi­gen uit­bran­der van z’n kapitein. En die lui­tenant is... Carl.

Mizzi ver­staat en glim­lachend beveelt zij: « Ik wil dat die lui­tenant voor­taan ver­schoond bli­jve van zulke af­s­traf­fing, ik bevorder hem tot kapitein ». D’e Min­is­ter moet gehoorza­men.

Men kan licht de ver­baz­ing gis­sen van lui­tenant Carl van Berck, die zich niet aan zulke snelle pro­motie verwachtte.

Twee dagen later komt Pipac gan­sch teleurgesteld bij Heynitz; tev­ergeefs heeft hij ge­tra­cht de twee « ver­lief­den », Cari en Mizzi, ti­j­dens hun wan­delin­gen te fo­tograf eeren. Hij is er alleen in ges­laagd zich belache­lijk te maken ti­j­dens een Home­rische schaatspar­tij!...

Heynitz blijkt volkomen on­ver­schillig voor den tegenslag: hij heeft een an­dere rad­i­cale oploss­ing gevon­den. Ver­mits het prins­esje in­ter­esse schi­jnt te hebben voor

kapitein van Berck, zal hij er alles op zetten om den winkeljon­gen in den schaduw te zetten, ten bate van den kapitein. Hij belegt een samenkomst tuss­chen de prinses en Carl, dien hij kolonel be­noemt.

Kolonel van Berck denkt werke­lijk te droomen, wan­neer een uur later hij Prinses Maria-Christina wordt voorgesteld en in haar Mizzi herkent. Hij be­gri­jpt, dat hij bedro­gen werd.

Heynitz verneemt in­tuss­chen een ontstel­lend nieuws: Kolonel van Berck en de winkeljon­gen Carl zijn één en dezelfde. Het komt er op aan, deze « kerel » af­s­too-telijk te maken in de oogen der prinses. Heynitz geeft hem de nood­ige on­der­richtin­gen. En den­zelf­den avond, bij het hof­bal, waarop de Prins van Leucht­en­stein aan­wezig is, heeft Carl geen moed noodig om Haar Hoogheid on­aan­ge­naam te zijn: hij stelt in­der­daad vast, dat de prinses met l be­lang­stelling het gesprek van den jon­gen prins volgt. Doch deze heeft slechts liefde voor de oud­hei­d­kunde. Wan­neer het bal aan­vangt, verontschuldigt hij zich bij Haar Hoogheid, wijl hij niet dansen kan en ver­zoekt ze een ander cav­a­lier « van prin­selijk bloed » te kiezen. Marie-Christina aarzelt een oogen­blik. D[an, tot erg­er­nis van Heynitz en van gan­sch de hofhoud­ing, doet zij teeken aan Carl. En in den roes van een wals zw­even zij als boven de wereld.

Alleen de on­verwachte in­trede van den Kon­ing brengt hen tot de werke­lijkheid terug.

Doch het mooie prins­esje heeft ma­l­ing aan het pro­tokol en de ge­bruiken van het Hof. Als een vo­geltje, dat naar vri­jheid snakt, vliegt zij weg. Doch niet alleen, want haar mooie of­ficier ver­voegt ze snel.

En hun geluk zal niet stru­ike­len, noch op de lamen­taties van Heynitz, noch op de J blaam van gan­sch het Hof...


Zola est-il un au­teur pho­togénique? Ce puis­sant ro­mancier, ob­ser­va­teur réal­iste, eût été un scénar­iste de tal­ent.

Nul mieux que lui, en effet, ne sait met­tre en re­lief avec au­tant d’acuité le détail qui frappe, le mot qui cin­gle, il puise la vérité dans la vie, et la vérité est quelque fois plus at­tachante et plus com­plexe que le ro­manesque le plus imag­i­natif.

11 était curieux de voir la trans­po­si­tion à l’écran de ce roman com­pact d’Emile Zola, l’une des oeu­vres les plus pop­u­laires du fécond ro­mancier. L’épreuve a été décisive: Au Bon­heur des Dames, une des meilleures études so­ciales d’Emile Zola, a fourni à l’écran un film où la par­tie ro­manesque ne le cède en rien à la par­tie ob­ser­va­tion, où l intérêt soutenu par un sens at­tachant de l’in­trigue l’est égale­ment par une pro­fonde ob­ser­va­tion des moeurs mod­ernes.

L’ac­tion se passe de nos jours dans le cadre d’un grand ma­g­a­sin, tem­ple de ten­ta­tion; parmi le petit monde des em­ployés, avec ses ri­valités, ses jalousies, ses amours...

Mais il y a da­van­tage dans ce film: il y a la lutte désespérée des pe­tits con­tre la vo­racité des grandes en­tre­prises, les dévas­ta­tions que cause la marche bru­tale du progrès; il y a aussi le con­flit sen­ti­men­tal et char­nel qui op­pose la fraîcheur in­no­cente de Denise Baudu aux appétits d'un

Mouret en pleine pos­ses­sion de ses moyens, d’un Mouret tri­om­phant, grisé de succès, d’ar­gent, d’amour...

La réal­i­sa­tion de Julien Dti­vivier est re­mar­quable. Cer­taines scènes, parmi celles pure­ment doc­u­men­taires ou de­scrip­tives, sont vi­o­lem­menf émou­vantes: la folie qui s em­pare de Baudu en voy­ant que son hum­ble bou­tique va dis­paraître sous la pi­oche des démolis­seurs, la mort de sa fille, la fuite de Colom­bau de chez son pa­tron ruiné et, plus par­ti­c­ulière­ment, les scènes fi­nales, l’acharne­ment épique des démolis­seurs, la panique de la foule dans le grand ma­g­a­sin, at­teignent à une réelle puis­sance.

L’in­terprétation est de choix: Dita Parlo est ex­quise et quelque­fois émou­vante dans le rôle de Dtenise; Pierre de Guin­gand a beau­coup d’al­lure et de chic dans le rôle de Mouret. Mais le meilleur artiste du film nous paraît être Ar­mand Bour, qui a donné de Baudu, le vaincu de la lutte engagé entre le petit et le grand ma­g­a­sin, une fig­ure in­fin­i­ment pitoy­able et douloureuse.

Dians des rôles sec­ondaires, Ger­maine Rouer, Ginette Mad­die font im­pres­sion: la première par sa fi­nesse, son in­tel­li­gence des moin­dres nu­ances; la sec­onde par sa joliesse, sa désin­vol­ture gavroche, sa « rosserie » véridique. Nom­mons en­core 1 ex­cel­lente Al­bert Bras, Nadia Sibirskaïa, Andrée Bra­bant, Mailly, Candé, Haz­iza, Don­nio, Bour­day, qui com­posent leurs per­son­nages avec beau­coup de vérité et d’ai­sance.

AVEC

Ar­mand B OU R

Ginette MAD­DIE Andrée BRA­BANT Nadia SIBIRSKAÏA Ger­maine ROUER

Réal­i­sa­tion de

JULIEN DU­VIVIER


BIN­NENKORT

AU BON­HEUR DES DAMES

Bestudeerend de natu­urlijke en phys­i­ol­o­gis­che men­sch, on­der­wor­pen aan de eeuwige wet­ten der er­fe­lijkheid, zoo schiep Emile Zola zijn for­mi­da­bele reeks van 70 werken, gek­end onder den naam van: « Rougon Mac­quart », natu­urlijke en so­ciale geschiede­nis van een fam­i­lie onder het Tweede Keiz­er­rijk.

In dit com­plex van 20 ro­mans komt «Au Bon­heur des D'ames » op de elfde plaats.

Het werk werd geschreven in 1883, dus wan­neer Zola drie en veer­tig jaar oud was. Het komt on­mid­del­lijk nà « Pot-Bouille » en vóór «La joie de Vivre».

Het gegeven van « Au Bon­heur des Dames » is niet zoozeer te zoeken in de liefdesin­trige van Dtenise, de wees, en Mou-ret, de rijke bezit­ter, doch veeleer in de wan­hopige, haast tragis­che strijd van den mid­den­stand tegen den alles op­slor­pen-den groothandel, een thema dat ook later met zulken meester­lijken greep werd be­han­deld door den beroem­den Ned­er­land-schen tooneelschri­jver Her­man Heyer-mans in zijn pakkend « Dte Op­gaande Zon ». Wij wonen in deze rol­prent de nut-telooze, on­gelijke strijd bij van den ouden Baudu, eige­naar van een kleine zaak, die halsstar­rig, kop­pig en wan­hopig zich wil verzetten tegen den nieuw­eren geest die ruimer ont­plooi­ing, vri­jer denkbeelden wil.

«Au Bon­heur des Dames», zoo is de naam van een reusachtig-opgezette mod­ezaak, opgevat in een ger­af­fi­neerde pracht als een tem­pel van ver­lokking, een wereld van schijn en droom. Daarheen tiegt het pub­liek, tuk op nieuwheid. Dte eene na de an­dere, allen ver­laten het ver­oud­erde, klein burg­er­lijk winkeltje van Baudu, tot zelf­s­Colom­ban, de klerk, waar­van hij eens hoopte zijn schoonzoon te maken en wiens

heen­gaan den dood brengt aan de reeds zoo zwakke Geneviève.

Gelijk­loopend met deze tragedie wordt het gebeuren Denise-Mbu­ret on­twikkeld: Denise, het arme nog naïeve meisje, nichtje van Baudu en dat als model wordt aange­wor­ven in « Au Bon­heur des Dames » en op wie de « baas » Mouret ver­liefd wordt, zoozeer dat zij op een oogen-blik zijn gan­sch wezen en tevens ook het bestaan zelf der reuzen­zaak be­heer­scht.

Julien Du­vivier heeft het gegeven op merk­waardige wijze aan de rol­prent aangepast, in een opeen­vol­ging van pakkend-ste toonee­len, met soms een lyrischen « Schwung » van on­troerende kracht. — Men lette slechts op het aan­gri­jpend tafer­eel van Baudu’s uitzin­nigheid wan­neer hij ziet hoe zijn kleine zaak wordt neerges­makt onder de houwee­len der cf­brek­erc. Zijn waanzin­nige woede wordt haast van epis­che over­weldig­ing, op het ry­thme van dez-p razende verniel­ing van al het­geen waar­voor hij jaren heeft geleefd.

Dit tooneel is des te on­troeren­der wijl de ver­tolker van de Baudu-figuur, A rmand Bour, zijn rol uit­beeldt met een onzeggelijke diep-men­sche­lijkheid, alsof hij waar­lijk in zich het wee en de ver­plet­ter­ing droeg van gan­sch een stand en de in­nig-tre­upge ned­er­laag door­maakt in hopeloo-zen strijd.

Djta Parlo is een Denise vol friss­che on­schuld, en die nu eens ver­rukke­lijk-lief, dan pakkend-on­troerend kan zijn.

Pierre de Guin­gand geeft veel karak­ter en per­soon­lijkheid aan de Mouret-figuur, zoo in de sen­ti­menteele als de meer drama­tis­che oogen­blikken.

Dteze drie hoofd­ver­tolk­ers wor­den bui­ten­dien om­ringd door een stel ver­tolk­ers van zeer groote waarde.

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CAP­I­TAINE

KAPITEIN

BULL­DOG

d’après la pièce naar het tooneel­w­erk

"BULL­DOG DRUM­MOND"

Mise en scène de In­seneir­ing van

RICHARD JONES

RONALD COL­MAN

Hugh Drum­mond

CLAUDE AL­LIS­TER Algy LILYAN TASH­MAN Irma MON­TAGU LOVE Pe­ters­son

TETSU KOMAI JOAN BEN­NETT LAWRENCE ORANT

Chong Ihyl­lis Dr Lak­ing­ton

Bull­dog Drum­mond est un film améri­cain, qui a tenu l’af­fiche plus de six mois à Broad­way et plus de neuf mois à Lon­dres, dans sa ver­sion « 100 % par­lante». Nous ne le ver­rons, suiv­ant une cou­tume des di­recteurs d agences améri­caines, que dans une ver­sion « d’ex­por­ta­tion », qui sup­prime les di­a­logues en ne lais­sant sub­sis­ter que les sons.

Cepen­dant, même privé d’un di­a­logue pas­sion­nant, coloré, mou­ve­menté et ad­mirable­ment en­reg­istré, le « Cap­i­taine Bull­dog » vaut la peine d’être vu, car il a le mérite de ne ressem­bler à aucun film.

Le cap­i­taine Hugh Drum­mond, surnommé le « Bull­dog » à cause de son courage et de sa ténacité, est un of­ficier démo­bilisé qui ne peut plus se faire à la morne vie civile. Un de ses amis lui suggère de faire paraître une an­nonce ex­p­ri­mant son désir de par­ticiper à n’im­porte quelle aven­ture intéressante — même dan­gereuse. Parmi les réponses, il choisit une let­tre signée Phyl­lis, qui lui donne ren­dezvous à l’auberge de Green-Bay, sur la route de Lon­dres, à mi­nuit, où elle se trouve en grand dan­ger.

In­trigué, Drum­mond se précip­ite à 1 adresse in­diquée. Le lieu est trag­ique, l’auberge inquiétante, l’aven­ture pas­sion­nante. Un mil­lion­naire améri­cain, oncle de Phyl­lis Ben­ton, est séquestré et persécuté dans une étrange clin­ique par un cer­tain Pa­ter­son et sa bande, qui veu­lent lui ar­racher une sig­na­ture peur l’aban­don de plusieurs mil­lions.

Voilà le point de déoart de péripéties plus mou­ve­mentées les unes que les autres et dont le cap­i­taine « Bùlldog » n ar­rive à tri­om­pher que par sa fi­nesse, son au­dace et sa ruse. Et Hugh Drum­mond fait une fin heureuse en épou­sant la jolie Phyl­lis.

Oùtre Ronald Col­man et Joan Ben­nett, l’in­terprétation com­prend un ex­tra­or­di­naire comédien, Claude Al­lis­ter, dont l’hu­mour niais et dis­tingué est im­payable, Mon­tagu Love et la red­outable Lilyan Tash­man.


Als ’’Stars” slecht geluimd zijn

Ook film­stars zijn — meer dan gewone « ster­velin­gen » wellicht — wel eens slecht geluimd.

Om meer tot betere inzichten te komen, raadt Joan Craw­ford aan een lange flinke wan­del­ing te doen en daar­bij zooveel mo­gelijk met den « neus in den wind » ofwel u op te sluiten in uw kamer en u zelf toe te spreken, om het dwaze van dit slechte humeur weg te praten.

Van een­zame wan­delin­gen is ook Greta Garbo groote liefheb­ster, zooals bek­end. Mét de wi­jsheid harer zes­tig jaren re­de­neert Marie Dressier dat het best is niet te reageeren tegen slechte luimen: Hoe min­der men er zich met bezighoudt, hoe sneller zij van zelf verd­wi­j­nen, is haar op­vat­ting.

Een geheel an­dere idee heeft Norma Shearer: « Koop een hoed, of een tanden­bors­tel of gelijk wat, een koop­to­ertje is, naar ik steeds on­der­von­den heb, een aku-raat mid­del om slechte stem­min­gen te ver­ja­gen ».

Ramon No­varro van zijn kant zoekt gezelschap op. Onder de men­schen wordt men niet zoo snel zelf-be­wust — wat zoo dik­wi­jls de oor­sprong is van slechte ge-luimd­heid — en denkt men ook niet zoo snel aan zijn eigen zor­gen.

Mar­ton Davies ver­jaagt haar grillen door muziek. « Een jazz-ork­est helpt mij meer dan welk ander mid­del ook, om de goede mid­den­weg te houden. Daarom, zet uw radio aan of laat uw gramo­foon de jong­ste suc­ce­s­plaat af rollen » (natu­urlijk met jazz-band!!!).

Buster Keaton gelooft in het « mens sa-na in mens cor­pore ». Bok­sen, base­ball of gelijk welke an­dere lichaam­soe­fen­ing brengt het bloed in be­weg­ing. E,ens dat

verkre­gen, dan is de kwade luim van zelf verd­we­nen I

Diezelfde meen­ing is John Gilbert toegedaan, doch hij houdt zich in hoofdzaak aan ten­nis.

Als part­ner heeft hij daar­bij meestal King Vidor, de beroemde regis­seur, die niet ver van Gilbert s huis woont. Maar deze, vooral sinds hij z n film « Hal­lelu­jah » schiep, zet min­der of meer kla­gende negerliederen in om terug op dreef te komen.

William Haines ver­li­est nog het gemakke­lijkst zijn kwaad humeur wan­neer hij... an­dere men­schen aan den ar­beid ziet en hij niets doen moet!

Uit Film­land

Al de buitenop­na­men voor de nieuwe ver­film­ing van At­lantis, de beroemde roman van Pierre Benoit, zijn beëin­digd in Afrika. Pabst is nu be­gonnen aan de bin­nenop­na­men in de Berli­jn­sche stu­dio’s met Pierre Blan­char, Brigitta Helm en Tela T cha'i.

+ Jean Dréville is klaar met zijn film Liefde­sap­pel.

Wil­helm Thiele heeft een nieuwe rol­prent voor de U. F. A. afgew­erkt, namelijk « Het Meisje en de Jon­gen », naar het werk van André Birabeau en Georges Dtol­ley. Lil­ian Har­vey en de sym­pa­thieke Henry Garat staan weer zij aan zij. Mhr-cel Vallee vervult er ook een be­lan­grijke rol in. Dé muziek is van Jean Gilbert.

+ Lu­bitsch heeft 125.000 dol­lar ont­van­gen, als hon­o­rar­ium voor de in­sce­neer­ing van zijn nieuwen film.

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L'AME DU CIT­RON

LA TECH­NIQUE DU FILM —S

LE CIN­EMA PANORAMIQUE

De plus en plus, le cinéma tend vers une représen­ta­tion intégrale de la vie; en at­ten­dant les pro­jec­tions en couleurs et en re­lief qui font actuelle­ment lob­jet d'ac­tives recherches dans les lab­o­ra­toires d’op­tique, voici qu’une in­ven­tion française, l’élar­gis­seur op­tique du pro­fesseur Chrétien, per­met désor­mais de faire tenir dans le for­mat réduit d’une pel­licule or­di­naire une pro­jec­tion panoramique de largeur trois fois plus grande; c’est là un nou­veau progrès vers la représen­ta­tion complète de la réalité, car la pro­jec­tion triple (ou comme on dit le «triple écran»), avec son large développe­ment, pro­cure au spec­ta­teur l’il­lu­sion de se trou­ver lui-même plongé au mi­lieu des scènes qu il con­tem­ple.

Depuis que le cinéma ex­iste (vers 1900), tous les écrans se présen­tent sous T as­pect d’un rec­tan­gle de pro­por­tions 4 sur 3, re­pro­duisant néces­saire­ment la' forme de l’image pho­tographique. Or, cette forme con­vient mal à cer­tains su­jets, par ex­em­ple aux paysages, qui de­man­dent générale­ment un écran beau­coup plus large que haut.D1’autre part, le cinéma sonore utilise pour l’in­scrip­tion sur film une bande, ou « piste sonore », prise sur la largeur de l’image: celle-ci de­vient alors presque carrée, ce qui est tout à fait défectueux. Enfin, le film sonore ayant de plus en plus ten­dance à se sub­stituer au théâtre, il était na­turel de don­ner à la pro­jec­tion une forme plus large que haute, rap­pelant celle de la scène. Pour toutes ces raisons, les ingénieurs du cinéma cherchent depuis en­v­i­ron deux ans à réaliser des pro­jec­tions élar­gies, avec une di­men­sion hor­i­zon­tale ap­prox­i­ma­tive­ment dou­ble de la hau­teur.

Pour ar­river à ce résul­tat, les Améri­cains ont songé à dou­bler la pel­licule elle-même; les in­convénients de cette so­lu­tion

sont nom­breux: d’abord la con­som­ma­tion de pel­licule serait évidem­ment deux fois plus con­sidérable; de plus, il de­vient néces­saire de trans­former égale­ment tout le matériel cinématographique utilisé actuelle­ment; en outre, le film large se prête mal à un éclairage uni­forme dans l’ap­pareil de pro­jec­tion, et a ten­dance à se gon­do­ler.

C’est néan­moins à cette so­lu­tion que, faute de mieux pour l’in­stant, les Améri­cains sont en train de se ral­lier. La trans­for­ma­tion des ap­pareils a déjà com­mencé aux Etats-Unis, mais elle a été presque entière­ment arrêtée par la crise économique. Peut-être n’y a-t-il pas lieu de le déplorer, puisque P on sait désor­mais, grâce à l in­ven­tion du pro­fesseur Chrétien, en­reg­istrer sur un film or­di­naire des vues panoramiques de grande largeur. La trans­for­ma­tion mon­di­ale des ap­pareils pourra ainsi être désor­mais rad­i­cale­ment évitée.

Qu’est-ce ïélar­gis­seur op­tique?

Toute le monde connaît les im­ages al­longées ou élar­gies données par les miroirs défor­mants tels que ceux du Musée Grévin ou des parcs d’at­trac­tions. Un résul­tat ana­logue peut être obtenu en plaçant de­vant l’ob­jec­tif d’un ap­pareil cinématographique un système de lentilles cylin­driques. Ce genre de lentilles n est, du reste, pas ab­sol­u­ment nou­veau; elles sont em­ployées sous une forme rudi­men­taire dans cer­tains lorgnons pour cor­riger le défaut vi­suel, appelé astig­ma­tisme. Mais le dis­posi­tif com­plexe des­tiné aux ap­pareils cinématographiques con­stitue une nou­veauté re­mar­quable dont les cal­culs théoriques seuls ont de­mandé plusieurs années.

La fab­ri­ca­tion des lentilles cylin­driques par­faites a néces­sité la mise au point d un


matériel spécial qui a été réalisé grâce au colonel Dévé, di­recteur de l’In­sti­tut d op­tique de Paris.

C’est à cet ap­pareil que son in­ven­teur, le pro­fesseur Chrétien, a donné le nom d\< Hy­per­g­onar » ou « élar­gis­seur op­tique ».

Com­ment on étire les tours de la cathédrale!

Sup­posons que 1« élar­gis­seur » ou « Hy­per­g­onar » étant in­stallé de­vant notre ap­pareil, nous pre­nions une vue de la cathédrale, nous ob­tien­drons sur la pel­licule l’image étirée en hau­teur. 11 est bien cer­tain que nous ar­riverons ainsi à en­reg­istrer une vue beau­coup plus éten­due, puisqu’elle se trou­vera repliée « comme un ac­cordéon ». Il ne saurait être ques­tion de la pro­jecter telle quelle. Mais il suf­fira, au mo­ment de la pro­jec­tion dans la salle de spec­ta­cle, de placer de­vant l’apareil un « Plyper­g­onar » iden­tique pour faire « ren­trer » toutes les choses dans 1 ordre; on ob­tien­dra alors une représen­ta­tion fidèle de la réalité, mais avec un champ en largeur beau­coup plus vaste qu’à l’or­di­naire ou, comme on dit, panoramique. Dàns la pra­tique, l’ap­pareil de prise de vues n est pas muni d’un « élar­gis­seur », la vue négative étant prise sur une bande de dou­ble largeur. L « élar­gis­seur » n’in­ter­vient qu’au mo­ment de la trans­po­si­tion de l’image sur le film posi­tif pour « com­primer » cette image dans le for­mat du film or­di­naire. En effet, l’émul­sion sen­si­ble des ban­des négatives, beau­coup moins fine que celle des posi­tifs, se prêterait mal à l’en­reg­istrement de l’image com­primée et à l’agran­disse­ment qui en résulte à la pro­jec­tion. On se trouve donc obligé d’em­ployer un film spécial dou­ble largeur pour le négatif, mais on évite le change­ment de for­mat pour les cen­taines de copies pos­i­tives qui sont tirées de ces films et pour

les ap­pareils de pro­jec­tions utilisés dans les salles de spec­ta­cle.

Oh pourra évidem­ment, en tour­nant 1'« élar­gis­seur » dans l’autre sens, obtenir un grand champ ver­ti­cal, ce qui peut être précieux dans les vues de mon­u­ments ou de mon­tagnes. Dans ce cas, il faut égale­ment prévoir un écran al­longé dans le sens ver­ti­cal.

Cinéma en re­liej? Cinéma en couleur?

Cinéma synthétique?

Outre cette heureuse so­lu­tion du cinéma panoramique, F «élar­gis­seur » va peut-être per­me­t­tre aux tech­ni­ciens du cinéma de faire en­trer dans le do­maine de la pra­tique trois in­ven­tions re­mar­quables: le cinéma en re­lief, qui est basé sur la pro­jec­tion si­mul­tanée de deux im­ages presque iden­tiques (im­ages stéréos­copiques); le cinéma en couleurs, qui est basé sur la pro­jec­tion si­mul­tanée de trois im­ages colorées (bleue, verte et or­ange); le cinéma synthétique, qui con­siste dans la pro­jec­tion côte à côte de deux im­ages différen- 1 tes, pour des ef­fets artis­tiques. Dans ces j trois procédés, il est néces­saire d’en­reg­istrer côte à côte, soit deux, soit trois im­ages, ce qui ne pou­vait se faire jusqu’à présent qu’au détri­ment de leur largeur. Là en­core, comme pour les films sonores,

1’« Hy­per­g­onar » four­nit une so­lu­tion élégante du problème en per­me­t­tant de tirer un meilleur parti du for­mat clas­sique de la pel­licule.

Glace à cette in­ven­tion, le cinéma panoramique a donc été rendu pos­si­ble dès main­tenant dans toutes les salles à l aide de films du for­mat or­di­naire. Quant aux nou­veautés de de­main: cinéma en re­lief, cinéma en couleurs, cinéma synthétique, 1 « élar­gis­seur » con­stitue un nou­vel appât pour leur réal­i­sa­tion et mar­que une étape décisive dans leur mise au point défini­tive et, espérons-le, prochaine!

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Cri­sis in film­land

Ra­tio­nal­isatie van het Filmbedrijf

De tooneel­spel­ers kla­gen. Zij hebben geen en­gage­ment, of als zij het wel hebben, spe­len zij voor kleinighe­den, omdat hun di­rek­teuren geen kans zien hun « zaken » be­hoor­lijk te ex­ploiteeren. Vele men­schen en din­gen kri­j­gen daar­van de schuld: gemeen­ter­aden en be­lastin­gont­vangers, ongeïnter­esseerd pub­liek en slechte-stukken-schri­jvers, beroerde ti­j­den en danc­ings, hooge schouw­burghuren en film...

Met films, en wat daaraan vast zit, is het overi­gens op het oogen­blik ook treurig gesteld. Obk in Hol­ly­wood zelf, waar — men vergeve de manke beeld­spraak—het hart van de Amerikaan­sche fil­min­dus­trie klopt, is het alles­be­halve rooskleurig. D'e werk­loosheid onder hen, die aan de film hun boter­ham ver­di­en­den, is schrik­barend groot en met den dag sti­jgt zij en sti­jgt zij meer. Het is er zoo erg, dat, als er niet gauw ve­ran­der­ing komt, de regeer­ing zal moeten in­gri­jpen.

Dte film­fab­rikan­ten, die dat, in­dien eenigszins mo­gelijk, willen voorkomen, hebben de kop­pen bij elka­n­der gesto­ken, om te zien of er geen plan­nen be­raamd kon­den wor­den om den toe­s­tand te ver­beteren.

Die plan­nen zijn thans be­raamd en wel­dra zullen zij wor­den uit­gevo­erd.

In de eerste plaats zal ge­tra­cht wor­den het werk zoo gelijk mo­gelijk onder de men­schen te verdee­len, ter­wijl in het ver­volg slechts bij hooge uit­zon­der­ing ak-teurs en fig­u­ran­ten, die el­ders al een mid­del van bestaan hebben, naar de film­stad zullen wor­den gehaald. Mét het tot dusver ge­bruike­lijke sys­teem, waar­bij elk fil­mate­lier er zijn eigen, vaste groep fig­u­ran­ten op nahield, zal wor­den ge­bro­ken.

en meer dan tot nog toe zal de fig­u­ratie via de zooge­naamde « film­beurs » be­trokken wor­den.

Voorts hoopt men door in­vo­er­ing van dag-en­gage­menten de pro­duk­tiekostçn te ver­la­gen, waar­door er een eind komt aan de over lan­gen tijd loopende kon­trak­ten van ak­teurs, die maar af en toe eens een keer spe­len. Het bedrag der dag-gage zal daartegen­over echter aan­merke­lijk wor­den ver­hoogd.

In de prak­tijk komt deze maa­tregel hi­erop neer, dat een « ster », die een weke-lijksch inkomen van 1200 dol­lar genoot, en dag-gage van 400 dol­lar zal kri­j­gen. En het is uit met den voor den fab­rikant zoo duren en den « lee­gloop-ar­beid » van den ak­teur.

Uit Film­land

Het gek­ende ti­jd­schrift Cinémag­a­zine heeft aan hon­derd Par­i­jzer per­son­aliteiten gevraagd « Welke is de film welke bij het meest in­ter­esse heeft opgewekt in 1931? » In­gevolge dit ref­er­en­dum werd de voor­rang gegeven aan: Aan Ons de Vri­jheid! een film die werke­lijk buiten het ba­nale en het tra­di­tion­eele ging en een ware poging daarstelde welke dient aange­moe-digd.

Sinds geruimen tijd was er een kon-flikt tuss­chen de Bioskoopuit­baters van België en de S. A. C. E. M. (Société des Au­teurs, Com­pos­i­teurs et Edi­teurs de Musique), die al te dra­conis­che eis­chen stelde sinds de in­vo­er­ing van den klank- en spreek­film.

Dit kon­flikt blijkt nu een oploss­ing te hebben bekomen ten gun­ste van de kine-ma’s, welke men dragelijke be­lastin­gen zal op­leggen.


I Een lofwaardig in­latief

I Films van Charles De Keukeleire

! f \ p aansticht­ing van vrien­den van het / B 1 ti­jd­schrift « La Nou­velle Equipe »

1 werd op Vri­jdag 20 Mei, in het F'a-

, leis voor Schoone Kun­sten », een avond j gewijd aan het werk van Charles Dekeukeleire. Er werd voorgesteld Witte Vlam, i naar een sce­nario van dichter Willem Rom­bouts, en Li­sions de Lom des, een doku­men­tarische film over Lour­des, waarin de filmer nieuwe wegen op tech­nisch ge­bied blijkt te be­wan­de­len.

Voor die Lour­des-prent werd een muzikale aan­pass­ing geleverd door den heer Mau­rice van Es­s­che, die dien avond zelf de koren heeft geleid.

Dtekeukeleire heeft, bij wijze van in­lei­d­ing, een lez­ing gehouden over « Le Cinéma con­tre lui-même » (de cinéma stri­j­dende tegen zichzelf).

Dit is een zeer lofwaardige poging die ten volle aan­merk­ing ver­di­ent.

Want zulke ini­ti­atieven zijn er noodig, zelfs brood­noodig, wil de film zich eenigs-zins los­rukken uit den greep van de tot t uiter­ste gedreven com­mer­cial­isatie van het filmbedrijf.

Meer dan ooit, nu ge­of­ferd wordt aan de gemakke­lijke for­muul en de films als het ware vol­gens een stereo­type wor­den gefab­riceerd (thème et vari­a­tions!), is het gewen­scht dat pogin­gen wor­den aangewend om het ver­loren ter­rein (de stille film was in­der­daad op een reeds veel hoo-ger peil ger­aakt) niet alleen in te win­nen, doch om dank aan klank en spraak aan den Film zijn ware be­teeke­nis te geven, doch ver van de eeuwige rou­tine en de platte alledaagschheid, waarin wij nu ver­sukkeld blijken.

Charles D'ek.​euk_eleire is een der in­ter­es­santste fig­uren uit de film­be­weg­ing in ons land, die waar­lijk een zuiverder kijk heeft op de mo­gelijkhe­den der cine­grafie; het is een zoeker, een str­ever om nieuwe banen op te gaan en aan den Film een kul­tureele rol te laten spe­len.

Zijn the­o­retis­che inzichten zijn nog on­langs goed uiteengezet in het in­ter­es­sant vlugschi­ift «Her­vorm­ing van de Kinema», uit­gegeven door het ti­jd­schrift « La Nou­velle Equipe ».

In zijn film­proeven zijn deze inzichten in de prak­tijk gesteld en op een wijze die be­won­der­ing afd­wingt.

Moge hij nu de nood­ige medew­erk­ing ge­ni­eten van de kinema’s in ons land om van op het doek tol de massa te spreken, j alzoo tra­ch­t­end de smaak te louteren en j de weg voor te berei­den tot nieuwe uitin- •. gen.

Uit Film­land I

Cp tech­nisch en com­mer­cieel ge­bied I is in de fil­min­dus­trie alles «af» als ner­gens ƒ an­ders; hoe is het dan mo­gelijk, dat een j land als Amerika, rijk, on­derne­mend, j

jong en in­tel­li­gent, er nog niet in ges­laagd: is, een aan­tal beschaafde men­schen voort ( te bren­gen, die stu­dios kun­nen en willen / or­gan­iseeren, waar niet uit­slui­tend een j com­mer­cieel doel wordt nagestieefd. Dit j be­hoeft daarom niet geheel uit het oog te I wor­den ver­loren. Vele Amerika­nen, die: zeer vader­land­schlievend zijn, zien deze !

fouten van hun groote na­tionale filmin- ( dus­trie dan ook wel degelijk in.

% Men gaat in Frankrijk een bi­ografis­che film maken over Maarschalk Foch, doch met deze par­tic­u­lar­iteit dat deze rol­prent geen enkel oor­logstafer­eel zal weergeven.

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