Programme from 17 to 23 March 1933



Booklet

Bron: FelixArchief nr. 1968#930

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Vrijdag

-- Programme 28 Speelwijzer

Samedi jo Dim*i*che *| q Lundi q

-L " Zrateritag Zondaa aV M tai» lan

Donderdag

1. EclairJournal

Actualités sonores

2. Jalousie du Gangster

Dessins animés sonores

3. Schubertlieder

Chantés par

RICHARD TAUBER

1. EclairNieuwsberichten

Aktualiteiten op den klankfilm

2. Gangster s Jaloezie

Klankteekenfilm

3. Schubertlieder

Gezongen door

Disques

jP AFiLiOPHONE - Grammofoonplaten

1. F. 1 NE REPOND PLUS I. F. 1 ANTWOORDT NIET

chanté par gezongen door

- CHARLES BOYER —

MOI ET LA IMPÉRATRICE IK EN DE KEIZERIN

chanté par gezongen door

— LILIAN HARVEY —

4. I. F. 1 ne répond plus

4. I. F. 1 antwoordt niet

Un film d’ Een film van

ERiCH POMMER

Scenario de Scenario Musique : Muziek :

WALTER REISCH ALLAN GRAY

D’après naa-den gelijknamigen Lyrics: Zangteksten :

le roman de roman van BERNARD ZIMMER

k'iinT cinnuAiz Prises de vues: Zichtopnamen:

KUR I blODMAK Gunther RITTAU et Konstantin TCHET

Realisation; Verwezenlijking van : n 4 . T/-i i

wjr, J & Prises de sons: Klankopnamen;

KARL HARTH FRITZ THIERY

Adaptation Française; Fransche Bewerking: D;cors • Schermen

ANDRÉ BEUCLER ' ERICH KETTELHUT

DRAMATIS PERSONÆ

Ellessen. . CHARLES BOYER Georges Pierre Brasseur

Droste . Damski Marcel Vallée

Nora . . Mathieu . . - . . Ernest Ferny Le Photographe, . . De Fotograaf Reporter j Pierre Piérade


I. F. 1 ne répond'plus

Grand, portant beau 1 habit, sportif, le visage basané, un homme traverse le hall du Golf-Club et s approche du téléphone.

« Allo! vous avez bien compris, ce soir, à 1 1 heures, devant les chantiers Lennartz. Les reporters ne se dérangeront pas en vain. Naturellement, aucun nom ne peut être prononcé. »

A l’autre bout du fil, un homme d’aspect comique, portant un appareil photographique, prend mystérieusement la communication.

Dhns le hall, cependant, une jeune femme, jolie, élancée, en robe du soir, entend, malgré elle, cette conversation,

et son attention est attirée par les mots «Chantiers Lennartz». Elle veut savoir, adresse la parole à l’inconnu, mais celui-ci prétend ne pas avoir prononcé ce nom.

Pour mentir de la sorte, il parle d'une voix chaude, qui cherche à plaire.

La glace étant brisée, il l’invite à danser. Quand tous deux se séparent, la jeune fille apprend seulement que son danseur n’était autre que le célèbre aviateur Ellissen.

A 1 1 heures cependant, devant les Chantiers Lennartz, les reporters des principaux journaux sont réunis; le photographe est là également. Qn réveille les veilleurs de nuit, qui ne sont au courant de

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rien. A ce moment, la jeune fille en robe de soir, arrive en auto. C’est Nora Len-nartz.

Est-ce une fausse alerte, une mauvaise plaisanterie? Mais que voit-on à l’étage? Une lumière vient de s’allumer. Nora se précipite avec deux policiers: les archives sont en désordre, les plans de « 1. F. 1 » ont disparu; le dossier vide est à terre. Les frères de Nora, Georges et Mathieu, arrivent sur ces entrefaites, accompagnés de l’inventeur de « I. F.! », le lieutenant de vaisseau Droste.

Et celui-ci d’expliquer que « 1. F. I » est une île artificielle,- qui doit être construite au milieu de l’Atlantique, au croisement de trafics intercontinentaux aériens; les avions y pourront atterrir et s’approvisionner, vingt-quatre heures suffiront pour relier une partie du monde à l’autre.

Ellissen est au bar de l’Hôtel Atlantic. Entre Nora, qui se fait connaître à lui, et lui reproche véhémentement l’effraction dont il est certainement l’auteur. Ellissen ne se départit pas de son calme, et bientôt, Nora, retrouvant toute sa gaîté, peut indiquer à ses frères et à la police, l’endroit où se trouve le plan volé.

Le but d’Ellissen, le meilleur ami de Droste, n’était pas de dérober ce document, mais simplement d’attirer l’attention des dirigeants des Usines Lennartz sur l’intérêt du projet qui dormait dans la poussière des archives.

Le fameux plan est ainsi révélé, et les Usines Lennartz décident d’en entreprendre la réalisation. Droste, sans tarder, se met au travail, qui durera plusieurs années.

Ellissen, de son côté, songe à des nouveaux raids polaires. Il a à lutter contre son amour pour Nora, car il veut être libre des chaînes du cœur, tandis que Nora cherche à sauver l'homme aimé des nouveaux dangers qui le guettent. Déjà elle croit avoir atteint son but.

, Maïs Ellissen est alors sollicité pour accomplir un raid autour du monde: du Bourget au Bourget sans escale. Il accepte; ainsi s’interrompt le rêve de la jeune fille,..

Dteux ans après, les stations radiophoniques du monde entier font savoir que «I . F. I » est terminée: Véritable ville d’acier et de verre, ancrée au milieu de

I Océan. Le capitaine D'roste, qui craignait le sabotage, n’a pas cessé sa vigilante surveillance.

Fendant ce temps, dans un petit hôtel, un homme, l’air abattu, misérable, apprend la nouvelle; c’est Ellissen, contre lequel la malchance s’est acharnée. Il a tout perdu, jusqu’à l’amour de Nora, dont le cœur a été ravi par Droste, le courageux inventeur. Mais Ellissen n’en conserve pas moins l’espoir de reconquérir la bien-aimée: un éventail reçu d’elle lui sert de talisman.

Cependant, au cours d’une communication avec l’île flottante, les dirigeants des Chantiers Lennartz n’entendent que cris, coups de feu, le bruit de toute une lutte à mort, et soudain, la communication est interrompue. «I. F. 1 ne répond plus ».

Que s’est-il passé, où est Dîoste, vit-il encore? Comment rétablir la communication?

Pour accomplir le voyage aérien, seul un excellent pilote pourrait tenter l’aventure. Nora songe à Ellissen qu elle va trouver en toute hâte. Peu après, l avion transportant Nora et Ellissen, vole vers le largef et bientôt « I. F. I », silencieusement étendue au milieu des flots, apparaît...

Les vents contraires obligent Ellissen à un atterrissage périlleux, son avion se brise, tandis qu’un canot s’éloigne de l’île. C’est Damski, ingénieur en chef, qui fuit... A la solde des ennemis de Droste, Damski était chargé de détruire «LF. I».

II a blessé Droste, il a ouvert les soupa pes des piliers pour faire sombrer l’île, il


laissé couler les carburants des tanks pour immobiliser les Diesel. Par le gaz, il a étourdi tout le personnel de l'île.

Ellissen et Nora voient, effrayés, toute cette dévastation. Bien que blessé. Droste leur raconte le drame, et Ellissen s’aperçoit alors que le cœur de Nora appartient non plus à lui, mais à D'roste. Déçu et jaloux, il devient indifférent au sort de

« I. F. 1 » commence à sombrer. Droste

essaye de mettre en marche un des avions; malgré son bras cassé, il veut voler lui-même chercher du secours, mais devant le danger trop grand, Ellissen revient à de meilleurs sentiments et s’envole à sa place.

Il aperçoit un bateau, se jette à la mer, monte à bord et donne l’alarme. De tous côtés, les secours arrivent: avions, navires. « I. F. 1 » est sauvée!

Over Transoceaanvluchten

Als hoofdelement van belangstelling van deze film, komt het « kunstmatig eiland » voor, hetwelk als vlottend vliegtuigstation geankerd ligt te midden van den Oteaan!

Om tot de verwezenlijking hiervan te komen, waren zeer zware financieele offers noodig. Inderdaad, midden in de Oostzeer, op de Greifswalder Oie, werden zulke gebouwen opgericht, die de juiste afmetingen weergeven van wat, in een beslist niet zoo verre toekomst meer, als « Transoceaan-tusschenstation voor luchtverkeer » kan bestempeld worden.

De plannen van arch. Kettelhut en van ingenieur H. B. Henninger hebben alle bijhoorigheden vermeden, die, behoorend tot het rijk der fantazie, praktisch onuitvoerbaar zouden zijn.

Begrijpelijkerwijze was het de U.F.A.,

-— die genoemde film opneemt, — niet mogelijk, alleen voor filmopname een echt eiland met de daarvoor verbazende technische uitrustingen te laten oprichten. Vanwege materieele redenen moest men zich beperken: een deel van zulk vlottend eiland werd opgericht, nochtans nogj met een landingsplaats voor lichtere

vliegtuigen van 180 M. lengte en 50 M. breedte.

Voor de technische uitrusting liet de Ufa zich niet leiden door zuivere fantas-tiek; integendeel, het eiland werd gebouwd volgens de onaanvechtbare en juist-uitgewerkte plannen van den Duit-schen ingenieur A . B. Henninger, 2e voorzitter van het « Studiegenootschap voor aanwending van transoceaan luchtverkeer ».

Ing. Henninger houdt zich reeds sinds 1924 bezig met het vraagstuk van het oceaan-luchtverkeer. Het is uit de gevolgtrekkingen, welke hij van uit de tot heden uitgevoerde oceaanvluchten en ook uit zeer doorgedreven studie, dat hij tot de overtuiging kwam dat een regelmatige vliegdienst, werkend volgens een vooraf gereed gemaakt plan, in den stand der huidige bouwtechniek der vliegtuigen, niet mogelijk was zonder tusschenlanding op daarvoor geëigende plaatsen.

Toen is hij begonnen aan de uitwerking van zijn grootsche ontwerpen van vlottend eiland, waarvan wij in dezen film »een voorsmaakje kunnen hebben.

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I. F. 1 antwoordt niet

Een heer in rok wandelt dwars door het park naar de telefooncel. « Ho-tdl Atlantic, alstublieft! ». Direct daarop telefoneert een kleine, komieke

man aan den anderen kant van de lijn en krijgt zeer discreet de opdracht, om I 1 uur ’s nachts de reporters van de grootste kranten naar de Lennartz-werf te sturen.


Daar zou iets gaande zijn;! Maar geen namen noemen! Een slanke jongedame heett ongewild meegeluisterd. Wanneer ze echter net woord Lennartz-werf hoort, spitst ze haar ooren. Z.e spreekt den heer aan, deze echter ontwijkt haar; ze moet verkeerd gehoord hebben. Overigens bevalt haar de vreemde wel, ze dansen samen, maar ze verneemt niets; eerst wanneer hij weg is, hoort ze, dat haar danser de beroemde oceaanvlieger EJlissen is. Wat heeft die met de Lennartz-werf te maken?

1 I uur s nachts. Voor den hoofdingang van de werf staan de reporters: T)ë kleine, komieke man is er ook. De dame in de witte avondjapon komt eveneens in een auto aangereden. Het is Claire Lennartz. In een kamer op de eerste etage brandt licht. Claire met twee agenten rennen er naar toe. Inbraak! Het archief is verbroken, de plannen voor « I. F. 1 » zijn weg. Dé broers van Claire, de eigenaars van de werf, komen, alsmede de constructeur en uitvirjder van « I. F. 1 », reserve-Iuitenant D*roste. Hij verklaart, wat «1. F. 1 » is. In de bar van « Atlantic » zit EJlissen. Claire komt binnen en beticht hem van de inbraak. EJlissen verliest geen oogenblik zijn kalmte en spoedig daarop kan Claire lachend haar broers alsmede de politie naar de plek sturen, waar de plannen liggen. EJlissen wilde slechts de aandacht van de directie op de geniale plannen van zijn vriend Dtoste vestigen. Het plan is gelukt. De Lennartz-Werke besluiten het ontwerp van « I. F. I » uit te voeren.

EJljssen maakt reeds weer een plan voor een poolvlucht. Zijn heele wezen verzet zich tegen zijn liefde voor Claire. Hij wil zich niet binden, hij wil vrij zijn. Claire probeert hem voor nieuwe gevaren te bewaren, en reeds meent ze haar doel bereikt te hebben, wanneer een verlokkende aanbieding van de Mteteor-Wer-ke komt, die hun pas gebouwd vliegtuig

te zijner beschikking stellen voor een non-stopvlucht Berlijn-—Berlijn, hetgeen hij geestdriftig aanneemt.

Door rusteloozen arbeid is op de Lennartz-werf het technische wonder «I.F. I» ontstaan. Drostes oogen zijn overal, want onbedriegelijke kenteekenen bewijzen hem, dat spionnage en sabotage aan het werk zijn. Na 2 jaren deelen de luidsprekers van de radiozenders der geheele wereld ijjede, dat het groote werk afgemaakt is.

Len kleine stad uit staal en glas met vlieghavens, radiostations, vuurtoren, werkplaatsen, hotels en hangars, ligt verankerd midden in den oceaan. Het transatlantische luchtverkeer kan beginnen. In een klein havenhotel hoort een man, moe en afgemat, zonder interesse naar het bericht. Hij ziet er ellendig uit. Het is EJlissen, wien alles mislukte. O'ok Claire heeft hij verloren, zij behoort nu aan Droste, den energieken ingenieur, maar nog hoopt EJlissen op Claires liefde. Dte kleine waaier, die hij haar eens spelenderwijs afnam, is een talisman.

Er geschiedt echter iets vreeselijks. Bij een telefoongesprek tusschen de werf en « I. F. I » hoort men eerst een heftige woordenwisseling, dan duidelijk schoten. Rinkelend vallen apparaten om, het schreeuwen verraadt een gevecht op levenden dood. Plotseling wordt de verbinding verbroken. «I.F. 1 » antwoordt niet meer!

Slechts een vliegenier kan de verbinding met het drijvende eiland herstellen. Bij het stormweer kan slechts de beste piloot de vlucht wagen.

EJlissen, denkt Claire, en haast zich naar den vliegenier. Kort daarop stijgt het vliegtuig in een geweldigen regen op. Op het eiland moet hij echter een noodlanding maken. Een boot verlaat snel de haven. Het is Damsky. Hij was het, die D*roste op het eiland overviel. Hij was in

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Montage des décors et scènes de prises de vues pour

" 1. F. 1 ne répond plus "

Le but poursuivi par les réalisateurs, était de créer une île artificielle flottante, en plein océan, véritable relais du futur trafic intercontinental aérien: l’Ile Flottante N° I.

« 1. F. 1 » est u ne gigantesque île flottante, étudiée jusqu’aux moindres détails. Le colosse flottant d’acier, ancré à 2.000 mètres de profondeur, à un pont de 500 mètres de long sur 150 Mi. de large. Sur ce pont, lequel s’élève à 25 Mi. du niveau de la mer, se trouvent sémaphores, grues, locaux administratifs et un hôtel.

Sous la plate-forme, se trouvent les machines, la salle des moteurs Diesel, la station de radio et le dépôt de carburant; le tout deux fois aussi important que le plus grand paquebot actuel, repose sur trois rangées de piliers remplis d’air ou d’eau, à volonté, pour permettre l’élévation ou l’abaissement de l’île, suivant l’état de l’océan. Le poids total de 1 île atteint environ 100.000 tonnes.

Par les mers les plus démontées, le pont est protégé du roulis, du tangage et des inondations, de manière à ce que même par ces temps dangereux, les avions puissent atterrir tranquillement.

Pour réaliser en décor cette île flottanzijn slaap door gas verdoofd. Als EJlissen ziet, dat Claire van Droste houdt, vergaat hij van jalouzie. Wat hem betreft, kan de « I .F. I » naar de hel loopen. Ten laatste besluit hij toch hulp te halen.

Spoedig daarop heeft hij een schip ontdekt, springt in t water, klimt aan booïfl en telegrafeert om hulp voor de

Van alle kanten komen schepen en grgote vliegtuigen te hulp.

te, il a fallu que U.F.A. fournisse un effort gigantesque; jamais réalisation cinématographique n a rencontré autant de difficultés, dont les premières commencèrent par la recherche d'un endroit approprié à la construction de l’île.

11 fallait, en effet, trouver une île non accidentée, située à 15 18 ML du niveau de la mer, proche de la côte, et suffisamment éloignée de toute route maritime, pour faciliter les prises de vue.

Après de longues semaines d’études, le choix s’arrêta sur 1 île Greifswalder Oie de la mer Baltique; pour toute habitation, il n’existe sur cette île qu’une auberge munie d’un phare, et qui abrite, en été, quelques chasseurs d’oiseaux.

Les difficultés de construction furent très nombreuses, car ce sont de véritables appareils et de vraies machines qui furent installés, conformément au projet de A. B. Henninger. 11 a été transporté trente wagons de plaques en fer, sans parler de tous autres matériaux de construction. Le travail a exigé, durant dix semaines, les efforts ininterrompus de près d'une centaine d’ouvriers et de spécialistes.

Finalement, l’île fut terminée, après avoir mis en effervescence toute la côte Baltique.

Nous ne parlerons pas ici de l’effort inventif fourni par les réalisateurs, les mots seraient trop faibles pour le décrire.

Nous voyons, au cours du film, l’atterrissage plein de virtuosité de deux avions sur la plate-forme de 1 île.

« I. F. I ne répond plus, mais on trouvera pourtant son écho de par le monde ». Ainsi s’exprimait, non sans raison, un des nombreux journalistes qui avaient fait le voyage de la Baltique, pour assister aux prises de vue de ce film unique.


La réalisation de

Le véritable personnage du nouveau film d'Erich Pommer c’est cette île flottante, chef-d’œuvre de technique moderne, qui existe en plein océan comme une île de terre et de roc, une île connue, découverte, vieille comme les continents et les mers!... Mais cette fois, c’est une île, une île indispensable qu'aucun hasard orogénique n’aurait fixée en cet endroit. Une île qui ressemblerait à Gléron ou à Nicobar ne rendrait aucun service. Celle qui a été inventée par M. Henninger, l’ingénieur berlinois bien connu, décrite par Kurt Siodmak, le romancier, esquissée par l’auteur du scénario et enfin animée par Pommer, en trois langues, pour trois pays, avec la collaboration de techniciens endurants et avisés, évoque à la fois un pays, une ville, un palais, un port, une gare aérienne, un cuirassé et une demeure délicieusement actuelle. Elle est pourvue de tout ce que peut désirer un civilisé du type 1933: hôtel, piscine, salle de jeux et de lecture, restaurant, terrasses et station radiotélé-graphique reliée à tous les postes importants du monde.

Dte leurs cabines, les passagers transatlantiques voient resplendir un aérodrome de haute mer, preuve d’une magnifique victoire remportée par les hommes sur les espaces infranchissables! Illusion de constructeur? Emportement de poète?

Non! Ce film indique au contraire une certaine actualité. Une île flottante dans l’océan Atlantique, une île flottante qui assurerait la liaison aérienne de continent à continent de façon régulière et pratique, fàit aujourd'hui partie des préoccupations d'un grand nombre de techniciens, écrivains et producteurs de films. C'est une idée qui est dans l'air, qui prend forme.

Que le cinéma s’en soit emparé, cela in-

I. F. 1 ne répond plus

dique beaucoup en sa faveur. Ainsi le public s’habitue à cette nouveauté.

C’est dans la Baltique, au large de Rügen, dans la petite île de Greifswalder Oie, que cette île artificielle de verre et de fer fut édifiée.

Greifswalder Oie est une miette dans la Baltique, que l’on aperçoit par temps clair de l’île de Rügen et du rivage pomé-ranien. Fréquentée surtout par quelques pêcheurs de harengs et par une famille d’oiseleurs qui s’y fixe à l’époque des migrations, cette île minuscule ne compte qu’une vingtaine d’habitants que la lumière d’un phare sauve de la solitude définitive. Vendue en 1833 pour 52.000 Mks à la Prusse, elle n'est longue que de 1500 mètres, mais ejle a un passé abondant, des légendes et mêmç une littérature. Elle vient d’entrer brusquement dans l’histoire cinématographique, et certes, l’arrivée de la camera, des projecteurs et du micro sur ce bout de terre, équivaut à une sorte de conquête dont les insulaires se souviendront leur vie durant.

C’est sur la partie nord-est, exposée aux vents glacés et violents, que la fameuse plate-forme de l’île flottante numéro I a été posée. Ce décor, qui fait songer à une grande place de ville archi-moderne ou à quelque gigantesque navire porte-avions, est dû à l’inventeur bien connu Mi. A.-P. Henninger, de Berlin, qui a eu l’idée de cet d aérodrome de haute mer » bien avant le romancier.

L: impression que les acteurs, pourtant préparés à cette surprise, ont ressentie devant ces constructions ingénieuses et sur ce sol métallique où les avions peuvent atterrir et décoller, sera longue à s’effacer et l'aspect de cette île mi-natu-


relie, mi-artificielle, où se mélangent aujourd’hui les détails les plus opposés et les éléments les plus cocasses: poste de 1.5.K., dynamos, appareil de son, journaux français et magazines anglais, dindons, vaches, pêcheurs illettrés, phonographes, cantine quasi militaire, oiseleurs, hgurants, cette île qui abrite en ce moment des vedettes internationales et des rempailleurs de filets qui n ont pas encore vu de film de leur vie, est assurément bien faite pour inspirer les créateurs quels qu’ils soient: poètes, ingénieurs, roman-icers, metteurs en scène. Ce qui explique aussi la présence d'une nuée d’appareils photographiques sur le « set », chacun désirant garder l image de son compatriote, de son collègue ou de son voisin.

11 ne restera à l’écran de ce paysage à la fois primitif et féerique que 1 île flottante proprement dite, telle que l’a conçue le réalisateur du film « I. F. I », avec son hôtel pour passagers transatlantiques, son terrain d’atterrissage, son luxe soudain au milieu de l’qcéan, son phare et son roofgarden. C’est un triomphe de technique audacieuse et sans aucun doute une indication pleine de promesses pour les constructeurs de l’avenir que préoccupe le voyage aérien du vieux monde au nouveau.

Cet automne cinq Français ont précieuse occasion de passer près

eu la d’un

mois sur la première ébauche, si l’on peut ainsi s’exprimer, de cette construction. Cinq Français, c’est-à-dire Charles Boyer, Danièle Parola, Jean Murat, Marcel Vallée et le signataire de ces lignes. Commencés au début de 1 été, les travaux se

partie de son étendue. Du jour au lendemain, le territoire minuscule où régnait un gardien de phare entouré de sa famille, a été envahi par une troupe de figurants, enrichi de décors, de projecteurs, visité par les avions. Le soir, après le départ de ce que nous appelons le gros de l’armée, qui rentrait à Gohren par le bateau, nous demeurions sur 1 île battue par les flots de toutes parts, où nous avions élu domicile.

Murat qui, dans ce film, joue le rôle du créateur de 1 plate-forme flottante, commandant de l’«l.F. I », ne se devait-il pas d’habiter dans File, non loin de son poste de commandement? Dans cette île qui disparaîtrait au fond de la mer si l aviateur Ellissen, Charles Boyer en l’occurence, ne se sacrifiait pour la sauver?

Certes, il faut s’éclairer à la bougie, faire parfois sa correspondance au crayon, écraser le long des murs des insectes bizarres avant de s'endormir et se contenter de peu en matière d’hygiène. Pas de blanchisseuse, pas de bureau de poste, pas d’eau courante. Les jours de tempête, quand le bateau ne peut accoster, on doit passer des heures entières sans pain blanc et sans tabac. Danièle Parola, l’héroïne, dans toute l’acceptation du terme, de ce film dont la distribution ne comporte qu’une seule femme, s’accommode avec une bonne grâce délicieuse de F inconfort de l’île et se montre aussi maternelle que charmante à l’égard de ses camarades. Actrice brillante et sensible, elle est aussi une maîtresse de maison incomparable. Assis à l’extrémité du môle, dans un costume qui rappelle

sont prolongés jusqu’à l’entrée de F au- F à la fois la tenue du scaphandrier et l’ac-tomne. Cet îlot de la Baltique, qui fit coutrement du trappeur, Charles Boyer autrefois partie de la Hanse, et dont lai jpêche avec flegme des poissons de forme superficie est insignifiante, a été brusque- 'assez ppu répandue. Le soir, sous la lam-ment recouvert de métal sur une certaine'-4 pe à pétrole de la salle à manger nordi-

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que, il nous enchante par mille souvenirs de Paris ou d’Hollywood, car sa voix est irrésistible et sa mémoire éblouissante. Sous prétexte de tirer un lièvre, un fai san, ou de chercher des champignons, Jean Murat court la campagne limitée et trouble les filles de File qui ne dorment plus depuis qu elles Font aperçu, dans un uniforme impressionnant, tenir tête-à-tête à une révolte de marins sur sa plate-forme sonore. Marcel Vallée danse la valse au son de l’accordéon, se fait comprendre mieux que personne, encore qu’il ne sache pas l’allemand, et joue à la belote comme on ne joue qu’à Paris, dans les bons endroits.

La nuit, tandis que le rayon du phare gesticule au-dessus de l’île avec une hâte de fantôme, le bridge a une allure de complot dans l’auberge sombre. Oh échange des romans policiers sur le seuil de sa porte et l’on se dit bonsoir à voix basse. Séjour pénible et charmant. Nous avions véritablement l’illusion de vivre en pleine mer, sur un sol artificiel, nouveau, ajouté au monde, d’attendre le courrier d’Euruope, les voyageurs des Etats Unis, les dépêches d’Afrique et du Brésil. Si forte était l’impression produite sur nous par l’aventure! Il faut ajouter que le créateur de cette plate-forme flottante, aujourd’hui cinématographique et demain réelle, se trouvait parmi nous, et que c’était un ieu pour lui d’entraîner nos esprits vers l’avenir.

A ndré Beucler.

Hoe L F. 1 er uitziet

Londen ligt zoowat op 5500 Km. van New York, Kadix eveneens van Natal. Een regelmatige overvlucht van zulke afstanden zonder tusschenlanding, met luchtvaarttuigen zwaarder dan de lucht, is niet mogelijk in den huidigen stand der techniek, en in aanmerking nemend de bruikbare lasten, welke uit economisch opzicht dienen medegevoerd. » Zoo sprak Dr. Dornier, de geniale bouwer van de « DO X », nadat het reuzenvliegtuig de terugvlucht Amerika-Europa had uitgevoerd. Volgens Dr. Dornier zal een tusschenlanding nog wenschelijk zijn, wanneer de vliegtuigen zóó zullen verbeterd zijn dat de reis in circa 210 kilometer per uur kan af gelegd. Mten denke maar alleen aan de benoodigde brandstof (zoo-wat 4 1 /2 ton nafte) voor de vlucht van den noordelijken Atlantischen Oceaan.

Des te belangwekkender is dus de arbeid van een klein getal ingenieurs, die zich met het problema onledig houden de onmetelijke watervlakte door kunstmatige eilanden te « verdeelen ».

Alle technische nieuwe vindingen worden over het algemeen aangekleed met bestaande vormen, althans tot in de jongste jaren.

De eerste spoorwagens geleken, tot op den laatsten spijker, op de afgedankte diligenties, voor de bouw der eerste vliegtuigen werd de gestalte van den vogel als voorbeeld genomen. Zoo begon men ook de kunstmatige eilanden, die als tusschen-landplaatsen moeten dienen, en vorm van een schip te geven. Men had één treffend voorbeeld: het « vliegtuigenmoederschip » van de krijgsvlooten, door torpedobooten en onderzeeërs bewaakt!

De « Deutsche Lufthansa » denkt er zelfs aan het volgend jaar zulk schip, omgebouwd natuurlijk voor zijn doel, te gebruiken als landingshaven op den zuide lijken Atlantischen Oceaan.

Doch andere scheppers zijn tot de kon-


klusie gekomen, dat dusdanige kunstmatige eilanden volgens geheel nieuwe kon-cepties dienen verwezenlijkt. De modernste opvatting is ongetwijfeld deze van den vader der Duitsche ingenieurs, Ing. A. B. Henninger. Deze ging van het inzicht uit dat de scheepsvorm bij zwaar ontij geen voldoende rustige landingsplaats biedt. Daarom, in plaats van een scheepskiel voorziet hij een groot aantal vlotters, welke hij « boilers » noemt die, luchtledig gepompt het eigenlijke platform dragen.

Deze flotters gaan 50 meter diep onder water. Zij zijn alzoo ongeveer eens zoo hocrg als een woonhuis van 4 verdiepen in een groctstad. Deze lengte is aldus aangegeven wijl de zee tot een diepte van 20 meter in beweging is. Daar de « vlotters » nog 30 meter dieper reiken en vastgeankerd zijn, zoo kan men zeggen, dat zij in beweegloos watrr vlotten, zoodat de oppervlakte tegen iederen stroom gevrijwaard blijft.

Dte menschen, welke op het strand moeten leven, zullen nooit het gevoel hebben zich op een kunstmatige schepping te bevinden. Op de indrukwekkende kolomvormige vlotters rust, zooals gezegd, de eigenlijke landingsplaats als een reusachtig platform waarvan de afmetingen ongeveer zijn 500 meter lengte en 150 meter breedte!

Op deze ontzaglijke vlakte kunnen de grootste landvliegtuigen zonder eenig gevaar starten en landen. Op de lengtezijde van het vliegveld verheffen zich twee lang-uitgestrekte niet zeer hooge gebouwen.

In het eene vinden de ruime werkplaatsen onder dak, de vliegtuighallen, de grogte naftatanks, de kantoren, het radiostation.

Aan de andere zijde staat het hotel met eenige honderden slaapvertrekken, met eetzalen. Op het reusachtig hotelgebouw wordt een lichttoren aangebracht, die de vliegtuigen van ver aantrekt.

Aan de vier hoeken van het platform verheffen zich kranen van veel honderd tonnen hefvermogen en waardoor de watervliegtuigen naar het dek worden opgehaald.

Een zeer omstreden punt rees op: moest zulkdanig eiland door eigen motorische kracht voortbewogen worden of moesf t als vaste standplaats geankerd blijven?

Ing. H. Glenniger heeft zich onomwonden voor vaste verankering uitgesproken, aangezien alzoo de vliegtuigen gemakkelijker de haven bereiken kunnen.

Zoo ligt I F 1 aan een machtige anker-boei, zoodat het te allen tijde zich naar de richting der winden onder stroomingen draaien kan.

Het is deze geniale schepping, welke men als proefbouw in den indrukwekken-den film: IF! antwoordt niet! natuurgetrouw zal kunnen bewonderen.

Over de Duitsche Versie

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Personen: EJlissen....

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Hans Albers.

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Les nonckalants studios

Du reste, cette méthode de travail excellente ici, aurait pu être déplorable là, mais à Vienne on travaille dans des conditions très spéciales.

En effet, il n’y a pas de production véritablement viennoise, ce sont actuellement des firmes étrangères allemandes ou françaises qui viennent avec armes et bagages s’installer à tour de rôle pour un ou deux mois dans les studios de la Sascha et en repartent avec leurs opérateurs, leur troupe et quelques milliers de mètres de pellicule impressionnée. C’est peut-être ce qui crée cette atmosphère de campement, de laisser-aller bon enfant qui ravit et surprend à la fois.

Rétrospective.

Pourtant l’industrie cinématographique a connu à Vienne son heure de gloire. Ein 1922, les films autrichiens avaient pris une des premières places d’Europe. C’est l’époque des superproductions: « Sodome et Gomorrhe », « Poupée de Paris », «Gloire », «Salammbô», «L’Esclave Reine», etc...

Sur les «sets» où nous avons tourné, quatre metteurs en scène, il y a une dizaine d’années, travaillaient sans arrêt jour et nuit. Dans la petite plane voisine 10.000 figurants costumés s’agitaient. Vienne tout entière ne rêvait que cinéma, ne vivait que pour le film.

Aujourd’hui, les costumes sont fanés, l’oubli est venu, et quand j’ai demandé, en arrivant à la gare, à un taxi de me conduire aux studios de la Sascha, le chauffeur a dû demander son chemin à quatre ou cinq passants successifs qui, du

Je la "V die J amour,,

reste, n’étaient pas plus renseignés que lui.

J’ai eu la chance de rencontrer à Berlin Ml. Pressburger, l’un des maîtres actuels de la cinématographie allemande. C’est lui qui, pendant quinze ans, a formé et dirigé la production viennoise. C’est un homme puissant, solidement planté, dont seul le regard bleuté adoucit un masque singulièrement énergique.

— C’est lamentable, me disait-il, il faut tout recommencer; pourtant, que d’efforts déjà nous avons fournis.

»C’est en 1909 que j’ai construit le premier studio viennois, et quand je dis construit, c’est une façon de parler. J’avais loué un grand jardin, fait couper quelques arbres et installé une vulgaire estrade sur laquelle on plantait des décors de théâtre. En fait de sunlights, nous avions le soleil simplement. Cette obligation de tourner en extérieur avait, du reste, de graves inconvénients: le vent soufflait dans les décors, le lustre se balançait au milieu du salon, les rideaux se gonflaient; pour rendre vraisemblables ces phénomènes, nous avons dû laisser toujours ouvertes les fenêtres des décors. D&ns les trois films produits à Vienne à cette époque, je vous défie de trouver une fenêtre fermée.

» Je n’ai jamais oublié ces efforts héroïques; on tournait en dix jours une bande de 2.000 mètres et cela me coûtait 8.000 francs.

— Excellente affaire, n’est-ce pas?

— Peuh! pas magnifique, vous savez, nous revendions le film au mètre courant 1 franc par mètre et par copie. Tout de


même c’était le bon temps; aujourd'hui un film en deux versions me coûte de 3 à 4 millions...

En poussant un gros soupir, herr direk-tor Pressburger rallumait son éternel cigare et reprenait:

— C’est en 1913 que j’ai fondé avec le comte Sascha Kolovrat la société actuelle. Nous avons alors fait construire des studios dans lesquels vous avez travaillé. Tout de suite notre production à été interrompue et c’est seulement après la guerre, en 1919, que j’ai pu lancer une série de grands films. Pour la première fois j’ai fait paraître sur les écrans les noms que vous connaissez bien: Lily Damita, Marie Corda, Adelqui Millar, Alexandre Korda.

» A la stupéfaction de mes concurrents, des films européens franchissaient l’Atlantique. Nous sortions deux bandes par semaine.

» Certainement j’ai connu des échecs, très graves quelquefois. Pour « Sodome et Gomorrhe » nous avions construit une tour de 64 mètres de haut. D&ns la nuit qui précédait la première prise de vue, une tempête survint qui balaya tout. 11 fallut attendre l’été suivant pour réparer les dégâts et tourner les derniers plans du film. Ah non! tout n’était pas rose... »

Et Pressburger retombait dans la rêverie. 11 revoyait la formation, en 1922, d’une firme concurrente, «La Vita », qui construisait les ateliers ultra-modernes à cette époque, de Rozenhugel, et surtout la catastrophe de 1923, l’industrie cinématographique viennoise en pleine prospérité, ruinée brusquement par le krach de la Depositen Bank. Aujourd’hui nous avons l’habitude de ces catastrophes.

Dieu merci! une banque de perdue, dix de retrouvées... au moins.

En 1923 il en était autrement, on prenait ces faillites au sérieux: la Sascha dut réduire à presque rien sa production et la « Vita » l’arrêter complètement.

Aujourd’hui, les studios de Rozenhugel sont abandonnés, ceux de la Sieveringstrasse se réveillent à peine, mais leur demi-assoupissement leur donne un charme de plus.

Prise de contact.

Les firmes qui viennent tourner ici, attirées par le bon marché des studios, arrivent avec leur troupe, leur metteur en scène, leur chef de production de Paris et de Berlin.

Dès le début du travail, un dépaysement semblable réunit les interprètes et les dirigeants des deux versions. 11 les réunit si bien qu’une vie commune s organise.

Pendant la préparation du film, on habite un grand hôtel viennois au cœur de la ville. C’est la bonne vie! Le travail pour les interprètes se réduit à quelques répétitions, pour les auteurs à des mises au point de détail, on retouche une dernière fois le scénario, on discute les maquettes des décors, on établit le plan de travail sur le découpage déjà numéroté, on fait connaissance avec les indigènes. Le jeune premier de la troupe s’en va chercher une blonde au hasard de la ville. Oïi règle les premières questions financières, on s’attarde à la table; de jour en jour, un nouvel arrivant paraît: c’est

l’opérateur, un assistant, la grande vedette qui met son point d’honneur à rejoindre ses camarades la dernière.

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